Gaza : quand le diabète de type 1 devient une condamnation à mort

" A Gaza, même l’insuline ne suffit plus. Il manque le sucre. "

" A Gaza, même l’insuline ne suffit plus. Il manque le sucre. "

« Les enfants palestiniens sont condamnés à la famine, forçant les familles à faire un choix impossible : entendre impuissants les cris de leurs enfants émaciés qui implorent de la nourriture, ou risquer la mort ou des blessures dans une recherche désespérée d’aide. »

Une famine généralisée, la population épuisée, sans force, un assassinat de masse planifié et organisé

La situation à Gaza devient apocalyptique ( cf blog de Mélenchon ) (cf. notre dernier article dans l’Insoumission). Nous, membres du GA du Pic Saint Loup (34), souhaitons agir contre cette horreur inhumaine en demandant au président français, de ne…

Même lorsque l'insuline vitale est disponible, il n'y a pas de sucre pour enrayer les effets secondaires. Ce qui ne serait même pas un problème dans un monde normal est désormais une réalité mortelle à Gaza. C'est d'une cruauté insupportable.

Ou comment laisser votre contradicteur afficher lui-même vos messages politiques.

Une personne sur trois reste sans nourriture plusieurs jours d’affilée. 96 % des familles interrogées en juillet 2025 déclaraient s’être endormies affamées à plusieurs reprises le mois précédent.

Rien ne vous prépare à la prise de conscience que vous faites partie d’une société qui commet un génocide. C’est un moment profondément douloureux pour nous. Yuli Novak, directrice de B’Tselem
La situation à Gaza devient encore plus apocalyptique que jamais. « Les dernières ressources vitales qui maintiennent la population en vie s’effondrent », selon le Secrétaire général de l’ONU.

Les termes du basculement climatique et écologique actuel sont bien connus : érosion de la biodiversité, accumulation de gaz à effets de serre dans l’atmosphère, accumulation de substances toxiques dans les écosystèmes, sur-exploitation des sols, perturbation des cycles de l’azote, du phosphore, de l’eau douce, etc.